Un ouvrage collectif de Nicole Alix, Jean-Louis Bancel, Benjamin Coriat et Frédéric Sultan à paraître le 28 août 2018 aux « Liens qui libèrent »
Des jardins partagés aux logiciels libres, des encyclopédies en ligne aux recycleries installées dans les quartiers des villes ou dans les campagnes, les «communs» semblent essaimer partout. Mais pourquoi ce succès ? Et comment expliquer cet essor ?
Cet ouvrage montre comment nous sommes entrés dans une phase nouvelle, celle de l’enracinement des communs dans la société, de leur extension à des domaines sans cesse élargis de la vie sociale et de leur pérennisation dans le temps. Car les auteurs partagent cette conviction : le commun n’est pas destiné à venir compenser les déficiences d’un monde capitaliste et marchand. Instrument d’une citoyenneté refondée, le commun comme les hybrides auxquels il ne peut manquer de donner lieu (mutuelles de travail, coopératives «ouvertes», plateformes numériques, etc.) ont vocation à se déployer comme formes économiques majeures, au service du bien commun.
En tirant parti de l’expérience mutualiste, coopérative et associative, ce livre s’efforce de penser dès aujourd’hui la connexion et la coopération entre communs pour aider à ce que cet avenir se réalise. Si l’on veut échapper à l’enfermement des communs dans un monde fait d’îlots séparés, il faut d’emblée envisager les relations des communs à l’entreprise, à la ville, au territoire, à l’action citoyenne, et commencer à préfigurer et à anticiper dans la pensée comme dans l’action ce que pourrait être une république des communs.
Aux éditions « Les liens qui libèrent«
Pour autant que soit comprise la double accroche proposée par La Cité des territoires de Grenoble :
– « L’interterritorialité le nouveau design des territoires »
– « Les territoires et les organisations à l’épreuve de l’hybridation’,
les communs résidaient sans doute dans les apports successifs d’apprentissage et de transformation des organisations.
L’innovation culturelle, économique et sociale présidait sans doute dans la métamorphose d’organisations antérieures.
Faire la mise en culture des communs antérieurs- peut-être un détour utile?
cf. » Culture & ESS : la troisième voie? » Le Labo de l’ESS.
Cordialement
Michel-Jean LAVEAUD
chef de projet interrégional RELIANCE 2010 2020
animateur Sénior de L »OUvroir de CItoyennetés DYnamiueS
Bonsoir
Pour autant que soit comprise la double accroche proposée par La Cité des territoires de Grenoble :
– « L’interterritorialité le nouveau design des territoires »
– « Les territoires et les organisations à l’épreuve de l’hybridation’,
les communs résideraient sans doute également dans les apports successifs d’apprentissage et de transformation des organisations.
les communs, les communaux, les ethnologues connaissent l’histoire de ces mots et les pratiques sociales que ces concepts et mots recouvrent..
L’innovation culturelle, économique et sociale présidait sans doute dans la métamorphose d’organisations antérieures.
Faire la mise en culture des communs antérieurs- peut-être un détour utile?
cf. » Culture & ESS : la troisième voie? » Le Labo de l’ESS.
Cordialement
Michel-Jean LAVEAUD
chef de projet interrégional RELIANCE 2010 2020
animateur Sénior de L »OUvroir de CItoyennetés DYnamiqueS