Les rapports sociaux contemporains sont structurés par des logiques qui associent domination et exploitation et dégradation de l’environnement. Plutôt que de perpétuer les rapports de force existants, voire de les amplifier comme le fait l’approche libérale des politiques environnementales, plusieurs théoriciens de la transition proposent d’expérimenter des voies alternatives. Les communs sont une des dimensions de ces démarches, à la fois comme modalités d’organisation de l’action collective et comme partie de l’horizon politique proposé.