Crise ou pas crise, nous avons tout le temps besoin d’un savoir ouvert. N’attendons pas de nouvelles crises pour faire de la connaissance un bien commun. Une tribune signée par Lionel Maurel, Silvère Mercier, Julien Dorra hébergée par
La crise sanitaire du coronavirus nous oblige à réévaluer ce qui est fondamental pour nos sociétés. Les personnes essentielles sont bien souvent celles qui sont invisibilisées et même peu valorisées socialement en temps normal. Tous les modes de production sont réorganisés, ainsi que nos formes d’interaction sociale, bouleversées par le confinement.