Deux étudiantes en Master à l’ENSSIB examinent la question des rapports entre les Communs de la connaissance et les acteurs publics dans un billet publié sur la plateforme Hypothèses.
Extrait :
Le caractère collectif de ces Communs contribue au développement d’une économie basée sur le collaboratif, sur le partage. Malheureusement, le domaine des Communs est fragilisé par des contextes économiques (convoitise d’acteurs financièrement puissants) et juridiques (lutte des industries culturelles pour la propriété intellectuelle et l’exclusivité des biens) qui ne leur sont pas favorables.
Afin d’encourager ces initiatives, le besoin d’une assistance pourrait alors se faire ressentir. Or, de par leur volonté de diffuser le savoir pour tous, les Communs de la connaissance semblent se rapprocher des objectifs du service public, entendu ici comme la prise en charge par une institution d’une activité ayant des objectifs d’intérêt général. Y aurait-il alors une réciprocité d’intérêts si l’on envisage une alliance Public-Communs ?