« Cette technologie offre donc une alternative innovante en termes de gestion distribuée et décentralisée des transactions de valeurs entre individus. Elle peut s’appliquer idéalement à la gestion de biens communs, qui représente un défi pour les institutions publiques et les organisations internationales. Le concept de la tragédie des biens communs, introduit il y a une cinquante d’année par l’écologue américain Garrett Hardin, permet de décrire ce défi. Il est souvent illustré par l’exemple suivant. »
Dans ce post de Blog, Jérôme Dubarry estime que la technologie de la blockchain « et ses deux principes d’incitation distribuée pouvant être appliqués à un grand nombre de situations, promettent de grands changements en termes de gestion des biens communs et de gouvernance dans les années à venir. »