A retrouver sur le site de l’association Les Vergers urbains, un article qui explique comment les Communs peuvent servir à repenser la question de l’agriculture urbaines et des jardins partagées, à travers la notion de « Ville comestible ».
Extrait :
L’agriculture est ainsi un outil clé pour remettre au goût du jour le concept des communs, en tant qu’alternative aux systèmes dominants, manifestant un profond changement de paradigme. Cette agriculture des communs – ou ville comestible – permet de défendre une autre manière de « ménager » les territoires en faisant converger les questions alimentaires, environnementales, économiques ou sociales, jusqu’à « faire mouvement ». Un mouvement pour une ville comestible, faite pour et par ses habitants, qui laisse une plus large place à l’autogestion. Pour les citadins, il donne l’occasion de (re)gagner potentiellement une autonomie, un droit sur leur espace urbain, notamment sur l’espace public, et sur la manière de gérer les villes. Les jardins partagés ou collectifs, certaines micro-fermes, de nombreux porteurs de projets en agriculture urbaine… s’inscrivent dans cette logique, chacun à leur manière.
Source : http://vergersurbains.org/la-ville-comestible-vers-une-nature-cultivee-au-service-des-communs/